Concertos
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As impartial as we are... we think he was the best Schumann conductor, along with Furt and Klemp.
La grande époque des enregistrements de Kubelík avec Berlin. Du grand art, du grand Schumann, avec parfois, comme pour les autres enregistrements avec Berlin, un son peut être un peu trop opulent et quelques rares tunnels (4ème). C'est la vie même, dans une interprétation extrêmement soignée, qui sera remise en cause dans les remake chez CBS (cf. plus bas), mais quel alliage sonore cordes / bois / vents dans la Rhénane par exemple, tout en assurant une grande animation dans les phrasés ! (Genoveva)
Discographie comparée de la 2e
Astonishing performances, with a (too much?) splendid orchestra. A total contrast with the remake on CBS (cf. infra). The musicality of the sound quality is simply astonishing. Manfred is splendid. He recalled that being a pupil he used to study during courses Schumann symphonies scores for four hands under his desk...
Il s'agit là pour moi des meilleures interprétations des symphonies de
Schumann, malgré les autres Karajan, Klemperer, Kontvitchny, Furtwängler
(sauf peut être la 4ème) et surtout les autres Sawallisch et consort.
Dans les symphonies de Brahms, j'aurais aimé retrouver au même niveau cette volonté de tout faire chanter et respirer sans que tout soit mené
ou par les cordes ou par grandes masses. Ce qui est remarquable c'est
qu'il s'agit d'interprétations exactement opposées à celles, pourtant
superbes, réalisées chez DG 15 ans auparavant. Ce n'est pas l'avis de
certains mélomanes de ma connaissance ; cf. la descente en règle dans le n° de Diapason
de l'époque qui n'hésite pas à parler de "coups d'accordéon à la
Harnoncourt"... (7/9/2011).
J'ai comparé pour en avoir le cœur net l'adagio de la 2e : 10'10 à Munich au
lieu de 9'19 à Berlin ; la version bavaroise - si l'on veut bien accepter le
tempo au départ - est beaucoup moins "naturelle" qu'à Berlin, sans toutefois de
"coups d'accordéon", mais on a ici une sorte de voyage initiatique et poétique :
c'est moins 'joli' qu'à Berlin mais bien plus prégnant ! À noter que la
division des violons aide énormément le déploiement du discours, au détriment
certes d'un certain volume sonore. (10/9/2011)
À noter que la fameuse "Tribune des critiques de disques" de France-Musique apprécia énormément la 3e, alors qu'elle fut rarement tendre pour Kubelík.
Harmonie
Discographie comparée de la 2e
Symphonie n°2
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Une ambiance sonore un peu réverbérée et manquant de définition n'entache pas cette lecture qu'on pourrait rattacher plutôt à l'intégrale avec Berlin qu'avec les lectures si originales parues avec la Bavaroise chez CBS / Sony ; cela manque un peu de chaleur curieusement, avec un côté un peu Sawallisch, ou plutôt Mendelssohnien, mais c'est grandiose, même si les mânes Rhénanes perdirent un peu en couleur pendant le voyage. (14/7/10)
Discographie comparée de la 2e
A great success again for Kubelík, even if the sound is too much reverberated; sounds a little bit colder anyway than lectures by Germanic orchestras, but this is impressive. (7/03/10)
Symphonie n°3 "Rhénane" en mi bémol majeur
op. 97
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Un concert d'avant l'intégrale DG avec Berlin disponible sur le net. Ca n'a pas le drive de Berlin et c'est un peu "dans la barre de mesure". C'est quand même mieux que la moyenne, en particulier un 5e mouvement bien mené. (24/11/10)
Available on the net, a good version, less dynamic than the one with the Berlin studio 3 years later. (11/24/10)
Symphonie n°3 "Rhénane" en mi bémol majeur op. 97
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Une version postérieure à l'intégrale DG avec Berlin, un peu lente et manquant un peu de 'drive', mais cherchant déjà à aller au-delà de l'espèce de premier degré - magnifique - de 1963, avec des articulations et des phrasés déjà plus recherchés. (15/2/09)
J'avais été bien mal inspiré en 2009 : en réécoutant ce concert, je m'aperçois que c'est du très grand Kubelík en fait, un concert qui vous laisse dans une sorte de béatitude frissonnante (cf. un article en anglais sur le rôle de la dopamine - GB - à mon sens un peu restrictif car centré surtout sur l'attente ou l'espérance de tonalités, sons ou rythmes déjà connus, alors que le phénomène de "frisson musical" peut très bien se produire devant des interprétations d'œuvres inconnues dans tous leurs caractéristiques). Bref, à la réécoute de ce concert, frissonnant donc de la tête aux pieds, on ne se désole certes pas d'être accroc à Kubelík, notamment dans Schumann : c'est libre et pourtant rigoureux, épais et pourtant d'une lumière continument éclatante, légèrement rubato et portant très tenu, donnant un peu l'impression d'être improvisé, alors que c'est pensé comme un tout. L'orchestre est stupéfiant de bout en bout de maitrise des sonorités et de la balance voulue par le chef ... (05/2/11)
He gave so many concerts that in some of them you could find sometimes kind of tiredness. This seems to be the case here, even this is a good reading. (2/15/09)
I guess I wasn't in a good mood that day: it is just splendid: you are just overwhelmed by a sort of continuous enchantment. This is going to be listened to again and again... It is even slightly better than the DG studio recording: livelier, with an orchestra at least as good. When Kubelík declared once he gave thousands concerts and was never completely satisfied, I have a tendency, besides the pleasure it gives (see an article about the role of dopamine on musical driven shivers), to find out where could be any fault, I don't find any here, the balance and homogeneity of the orchestra is just fabulous... (2/5/11)
Symphonie n°4 en ré mineur op. 120
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Enregistré 2 ans avant sa fameuse intégrale DG avec Berlin, on a ici en quelque sorte une synthèse entre la version DG et celle plus tardive chez CBS : moins extérieure qu'avec Berlin, mais avec aussi moins de brio, moins "expérimentale" que la version CBS 17 ans plus tard, mais de son plus consistant. On préférera quand même la version de 1985 ci-dessous.
Indeed a major lecture from the best Schumann interpreter of the XXth century along with Furt, HvK (sometimes - avoid the DG recordings) and Klemp. The violin "cantilène" in the 2nd movement (Rudolf Koeckert?) is just splendid. The 4th, despite its orchestral "light" - still lacks of some drive, that is why we prefer the version below.
Symphonie n°4 en ré mineur op. 120
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Que l'on est loin de Furtwängler ! C'est très lumineux presque printanier ; dommage que la prise radio ne soit pas très bonne ; on n'a enfin pas de tunnel au début du 4e mouvement car il s'est décidé à accélérer le tempo. On ne dira jamais assez la qualité des concerts qu'il donna dans ces années-là avec les orchestres américains. C'est au moins aussi détaillé que dans la version officielle Sony, mais bien plus vivant évidemment..
Splendid! A romantic lecture but at the opposite of Furtwängler. And for once a 'speedy' 4th movement. It can be found on the net (with Mozart's 25th by Argerich and Honegger's 2th).
Symphonie n°4 en ré mineur op. 120
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De l'opulence dans cet enregistrement (public ?). Si l'on en croît la date, il s'agirait ici d'un des derniers concerts de Kubelík à Munich. Une discographie comparée de 1999 - non commentée - nous avait fait classer cette version juste derrière le concert de Karajan à Salzbourg (Orfeo). (29/8/07 : entendu à la radio la version Klemp EMI : c'est extraordinaire de maîtrise orchestrale, mais çà ne vit pas comme ici).
Again a wonderful version, probably from one of his last concerts in Munich. Some years ago (1999), we made a compared listening of this symphony: this version arrived just after Karajan live in Salzbourg (Orfeo).
Symphonie n° 4 - Concerto pour piano et orchestre
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La 4è est superbe et permet d'apprécier
pleinement la battue de Kubelík dans ses œuvres..
Le concerto est assez sidérant de naturel et d'entente entre les deux
artistes : certes les tempi sont mesurés, mais le vieux Kempff, sans
partition, joue cela comme s'il était tombé dans la potion magique à sa
naissance...
A very good 4th symphony and an especially remarkable concerto, Kempff playing his part with complete control and a natural reading.
Concerto pour piano et orchestre
- Konzerstück op. 92
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Cet enregistrement a été disponible en CD
en offre promotionnelle à l'époque. Malgré l'âge des doigts du
pianiste, ce qui explique les tempi plus que mesurés, il se dégage de
cet enregistrement une vraie poésie, malgré un manque de drive
certain dans quelques passages rapides mais la poésie du reste les fait
vite oublier.
(21/3/09) C'est à près de 80 ans qu'il enregistre ce
concert... peu avant qu'il ne se retire de la scène ; cf. courte
biographie. (en compagnie pendant la guerre de Munch, Heger, Cortot,
Keilberth...) de ce pianiste également compositeur.
These two artist had probably a very strong relation; of course here, tempi are really slow to allow the pianist comfortable playing, but some passages show a great poetry.
Concerto pour piano et orchestre
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Malgré sa frêle apparence, Clara Haskil avait
parait-il des mains immenses. Sa carrière se brisa net en 1960 après une
chute. Le son est malheureusement un peu ouaté
; justice lui est nettement mieux rendue dans le 2e de Chopin que l'on
connaissait par ailleurs, mais qui est ici superbement restitué.
"Joining Alfred Cortot’s class in 1907, she graduated at age 15 with the
Premier Prix", comme quoi... Son pianisme me fait penser à celui d'Yves
Nat et aux pianos Érard.
Malgré la qualité de la pochette du disque Thara, que nous allons
reprendre tant elle est intéressante, la liste des concerts des 2
impétrants proposée par Thara est malheureusement incomplète, la voici
dans l'état de nos connaissances, et elle finalement bien courte :
07 6 51 Concertgebouw - Hindemith - The four temperaments for String Orchestra and Piano
01 6 51 Concertgebouw - Martinu - Concerto for double string orchestra, piano and timpani
01 6 51 Concertgebouw - Mozart - Piano Concerto n° 20 in D minor, K.466
07 6 51 Concertgebouw - Mozart - Piano Concerto n° 20 in D minor, K.466
27 1 52 Concertgebouw - Mozart - Piano concerto n°9 'Jeunehomme', K. 271
01 2 52 Concertgebouw - Mozart - Piano concerto n°9 'Jeunehomme', K. 271
24 1 53 Concertgebouw - Schumann - Piano Concerto in A minor, Op. 54
25 1 53 Concertgebouw - Schumann - Piano Concerto in A minor, Op. 54
31 1 54 Concertgebouw - Mozart - Piano concerto n° 19, K. 459
16 3 55 Suisse Romande - Chopin - Piano Concerto n° 2, Op. 21
17 11 55 Danish Radio orchestra - Schumann - Piano Concerto in A minor, Op. 54
31 1 60 Orchestre de la société des concerts du conservatoire de Paris - Chopin - Piano Concerto n° 2, Op. 21Clara Haskil déclarait qu'elle trouvait la plupart de ses disques Philips très mauvais, voulait enregistrer avec Kubelík, mais celui-ci avait alors un contrat exclusi avec Decca. Malgré le mauvais son (2 minutes perdues ont été remplacées par l'enregistrement réalisé avec Kletzky...), on a ici de superbes moments dans les passages les plus élégiaques.
Discographie comparée - Compared listenings
« Ma première rencontre avec Clara Haskil reste un souvenir inoubliable. Cela se passa à Amsterdam où je devais jouer pour Ia première fois avec elle et l'orchestre du Concertgebouw. Alors que nous descendions le long escalier pour atteindre le podium, Clara s'arrêta soudain et comme un cheval devant l'obstacle, hésita. Je l'ai poussée et en riant, nous arrivâmes sur la scène. Ce petit épisode reste pour moi plus qu'une anecdote car il est symbolique de notre collaboration qui dura des années. Il y avait en elle une nuance très particulière de notre confiance réciproque qui caractérisa nos rapports. Je faisais confiance au fait que, le moment venu, elle ferait le saut' et de son côté, elle savait que je ne la 'pousserais' ni trop ni trop peu.
D'autre part, son jeu avait ces mêmes nuances : il se développait dans des passages et des dosages magistraux qui permettaient ces coloris extrêmes. Par son jeu, elle contraignait l'orchestre tout entier à l'écouter et à réagir à ses intentions. Ce faisant, elle allégeait la tâche du chef d'orchestre d'arriver à une symbiose complète sur un même diapason. Il émanait d'elle une clarté séraphique qui me poussa à l'appeler tout de suite 'Clarissima'.
Ce n'est pas seulement au plan artistique mais surtout humain que je dois à Clara Haskil une des amitiés les plus grandes. Ses souffrances avaient affiné en elle la compréhension des valeurs et des besoins plus profonds au point qu'elle reconnaissait la signification de la moindre gentillesse et n'oubliait jamais de manifester son amitié par de petits témoignages.
Clara Haskil reste pour moi l'incarnation émouvante de la spiritualité : c'est-à-dire que l'Homme, à travers les épreuves de cette existence terrestre, à travers les souffrances physiques et spirituelles, parvient à une sublimation de toutes les forces de l'esprit et de l'âme, que le plus haut degré de vérité naît justement de cette épreuve pour atteindre son complet épanouissement. Cette transfiguration se déroule de manière parallèle - mais inverse - au phénomène de la révélation musicale qui entre dans ce monde en provenance des régions de l'esprit, de la création et de ce qui est au-delà des sens, pour s'y matérialiser en prenant une forme sonore et physique. Mais là où ces deux lignes se rencontrent, là où l'Homme au cœur pur rencontre la révélation de la Musique, c'est là où doit se faire cette rare sublimation telle que Clara Haskil l'a réalisée dans la plus parfaite forme humaine et artistique » (Rita Wolfensberger - Clara Haskil) - repris dans le livret du CD
Rather bad sound, but it's really worth it.
These same nuances existed in her piano playing that unfolded in masterful passages and filigree allowing her most extreme shades. When she played, she compelled the entire orchestra to listen to her and to react to her intentions. Thus, she eased the conductor's task of obtaining a perfect symbiosis on one and the same diapason. A seraphic clarity emanated from her, which immediately made me call her 'Clarissima.' But it is not only on an artistic level but specially on a human level that I owe Clara Haskil one of my greatest friendships. Her sufferings had refined in her the understanding of value and of the deepest needs, to the point that she recognized the meaning of the slightest kindness and never forgot to manifest her own friendship through little testimonials.
Clara Haskil remains for me the touching incarnation of spirituality: meaning that through the ordeals of our earthly existence, through physical and spiritual suffering, Mon reaches a point in which the forces of the spirit and of the soul become sublimated, an ordeal giving life to the highest degree of truth to reach its complete fulfillment. This transfiguration develops in parallel - though in the opposite direction - with the phenomenon of musical revelation that enters into this world from the regions of spirit, of creation, and well beyond the senses, to physically materialize in the form of sound. But the place in which these two paths meet up, and a human being with a pure heart meets the revelation of music, palpably materializes this some kind of rare sublimation that Clara Haskil fulfilled in the most perfectly human and artistic way."
(Rita Wolfensberger - Clara Haskil) -
quoted in the CD's sleeve
Concerto pour piano et orchestre
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Concerto pour piano et orchestre
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C'est un peu plus allant que 6 ans plus tard à la Bavaroise,
d'où sans doute quelques accrocs pianistiques, mais que c'est beau !
La réédition orfeao n'apporte malheureusement
pas d'amélioration sonore
(03/9/14)
Many thanks to Franck and the WDR to give us back this
concerto! It will be even better 6 years later in Munich...
No sound improvement in the recent Orfeo publishing. (9/03/14)
Concerto pour piano et orchestre
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Un vrai miracle : le jeu d'Arrau est absolument merveilleux de clarté, de son, de phrasé. Les deux artistes donnent une version
de type balade romantique, irrésistible, bien que dans des tempi mesurés.
Outre le concert à Cologne ci-dessus, ils l'ont donné tous les 2
également en 1976 à New York et en 64 à Munich.
Site Arrau.
Discographie comparée - Compared listenings (7/7/12)
An astonishing concert: too bad they did not belong to the same record company and that this will probably never be issued...
Discographie comparée - Compared listenings
(7/7/12)
Concerto pour piano et orchestre
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Deux maîtres ! On est un peu dérangé au départ par le jeu assez carré du pianiste, voire parfois abrupt ; mais Kubelík était à l'unisson pour donner cette version très dynamique et virile. Pas d'atermoiements ici ! On admirera néanmoins les contre-chants du pianiste - qui donna plus de 60 concerts à New York)et de l'orchestre, toujours aussi chantant avec Kubelík dans Schumann. Au même programme, la 6e de Vaughn Williams et les métamorphoses d'Hindemith. Une interview de Rudolph Firkušny à l'occasion de ce concert :
He will have given this concerto with Anda, Arrau, Eschenbach, Fischer, Haskil, Kempff, Lympani, Rubinstein, Sancan and so once with his friend Firkušny. This concert doesn't completly the on with Arrau, so 'grand style', but despite some roughness from the pianist sometimes, this is a very dynamic, extrovert and virile lecture. Since Rudolph was a friend of the journalist, here is his interview:
Concerto pour
violoncelle
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Concerto pour
violoncelle
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Concerto pour violon
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Certes ce n'est pas un violon "solaire", mais c'est solide, et il faut de la solidité pour cette œuvre bien difficile à rendre, œuvre maudite, créée 100 ans après la mort du compositeur. Les rythmes et couleurs schumanniens sont bien là avec Kubelík, mais on est perturbé tant par le côté "écrit pour soliste" de la partition que par certaines absences du compositeur.
A "cursed" concerto, played here by a solid soloist. All the art and knowledge of Schumann music does not prevent the listener from some uneasiness.
Manfred -
Dramatisches Gedicht nach Lord Byron op. 115
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La version de référence de cette musique de scène si peu jouée et encore moins enregistrée. Il s'agit bien sûr d'une version de référence, avec une superbe prise de son. Des moments sublimes, qu'il faut attendre patiemment si l'on ne comprend pas l'allemand (aucun livret ni bien sûr de partition). L'ouverture est encore meilleure que dans le coffret DG. Le coffret est intéressant mais dispendieux : on y trouve, toujours à Munich, les Scènes de Faust (Leinsdorf - 1971), le concerto pour piano (Serkin / Rieger - 1976) et le concerto pour violoncelle (Fournier / Kletzky - 1967).
Kubelík's garden: this scene music is very rarely played - except for its overture - which is done here superbly. Everything here is marked by poetry. Rather expensive box.
Genoveva
- Ouverture
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Toujours ce sourire aux cordes... tout le Schumann de Kubelík est là : souplesse des cordes, fermeté des rythmes, couleurs des bois et des vents : les cors !... On n'est pas très familier de l'opéra, une sombre histoire d'épouse d'un mari parti combattre les Musulmans et qui est accusée à tort d'adultère... Si l'on compare avec le studio DG, plus lent, plus opulent, plus présent, il y manque juste une touche de poésie que l'on a avec la Bavaroise (les cors encore).
Kubelík conducting Schumann... Compared to the official studio version for DG, it lacks a little bit of body but not of poetry.
Biographie
de Rafael Kubelík
- Discographie de
Rafael Kubelík - Liste des concerts de Rafael
Kubelík - Les meilleurs enregistrements de
Rafael Kubelík
Biography of Rafael
Kubelík - Discography of
Rafael Kubelík - Concerts list by Rafael
Kubelík -
Best of Rafael Kubelík