Kubelík créa la 7e symphonie de ce compositeur en 1952 (commandée par Koussevitzky, mais créée par Kubelík à la suite du décès du premier). Kubelík aurait déclaré qu'Harris était le seul compositeur américain à avoir conservé "la ligne architecturale de la grande tradition". Avec beaucoup de batterie, le 1er mouvement est un peu carré. Les timbales annoncent une sorte de marche dans le 2è mouvement, pour prendre une tournure plus nocturne. Le tout donne l'impression d'une musique très bien écrite, mais aux rythmes toujours un peu carrés, ce qui lui donne sa force, mais lui confère une certaine uniformité.

A good, vivid, but rather uniform music.

Œuvre bien plus intéressante que la précédente, avec un 2e mouvement particulièrement attachant.

A very good score from Harris. American neo-classical music at its best