Sinfonia Concertante in E-flat major for Violin, Viola, and Orchestra KV 320d (KV 364)Joseph & Lilian Fuchs, violin & alto - New York philharmonic - 23/2/58 - Remerciements à Jean-François Fauduet |
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Un extrait d'un concert de la première apparition de Kubelík à New York. Quel dommage que la bande sature par moment, car c'est superbe, avec deux merveilleux solistes (la sœur Lilian sera dédicataire d'œuvres de Martinu).
Part of a series of concert marking Kubelík's first appearance with the NY Philharmonic. He had here the chance to gather two excellent soloists (brother & sister).
Symphony n° 25, K.183Cologne RSO - Broadcast - 20/2/61 - Thanks to Simon Clark |
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Encore une version si merveilleusement mozartienne de cette petite symphonie.
A superb version of his little symphony.
Symphony n° 25, K.183SOBR - Broadcast - 10/12/75 - Thanks to Franck Schneiders |
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Pareil que la précédente.
Same as above.
Symphony n° 26, K.184Boston Symphony orchestra - Broadcast - 21/1/67 - Thanks to Riichiro Emori |
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Une 'petite' symphonie qu'il a dirigé un certain nombre de fois. C'est comme toujours épatant, avec notamment un 1er mouvement très rythmé.
Kubelík conducted this 'little' symphony rather often, highly enjoyable.
Symphony n° 29, K.201SOBR- Broadcast - 23/11/61 - Thanks to Franck Schneiders |
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Encore une merveille Mozartienne, avec notamment un andante rêvé. L'orchestre est dans une formation 'Mozart' et montre, qu'au niveau du quatuor, il était déjà d'un niveau international dans ce répertoire, même s'il fera par la suite d'énormes progrès pendant les quelques 26 années de direction de Kubelík. On ne sait que louer le plus : la justesse, l'esprit, l'alacrité...
The best Mozartian conductor since Walter and Krips takes the reins of his new orchestra : just magnificent.
Symphony n° 29, K.201New York Philharmonic - Broadcast - 14/3/81 - Thanks to Jean-François Fauduet |
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Le report sur bande est problématique, mais pourtant quel bonheur. Le premier mouvement présente un tempo assez lent, qui contribue au sentiment de plénitude que l'on ressent à l'écoute. Kubelík n'aurait enregistré cette œuvre que 3 fois. Le deuxième mouvement bénéficie également d'un tempo large, le reste est à l'avenant.
Kubelík at his best in Mozart in one of his late period concerts.
Symphony n° 33SOBR - Broadcast - Wurzburg Festival - 26/6/71 - Thanks to Jean-François Fauduet |
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Dommage que la bande ait écrêté les aigus. C'est le seul document que l'on ait avec cette symphonie - on se rappelle évidemment Krips avec le London symphony ; c'est moins 'd'un seul jet viennois', mais d'une égale valeur musicale.
Mozartian happiness in Wurzburg: when you have seen the videos there with the Great Mass or the 38th, you have the same feelings.
Symphonie n° 34 K.
338
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Contrairement à la Prague enregistrée avec le même
orchestre à la même période et pour le même label, ici pas de raideur
: la musique "coule" naturellement.
(11/11/03)
À noter la récente réédition réalisée à partir de LP par 'Forgotten
records', qui présente un son plus fin.
(19/3/11)
A real success, considering the orchestra, which, despite its overwhelming qualities, is not the best orchestra in Mozart. Opposite to the Prague at the same period, here the music flows naturally, with great spirit (strings).
Symphonie n° 34 K.
338 ()
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Un document au sens ancien du terme, avec un son très 'carton-pâte'. Un premier mouvement très allant avec un basson (?) un peu omniprésent, les autres mouvements à l'avenant, mais difficile de juger ce concert.
A pity this so badly recorded. this is Kubelík in Mozart nevertheless, rather operatic.
Symphonie n° 34 K.
338
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Encore une excellente version, avec un 1er mouvement plein d'allant, un 2e toujours dans un sourire élégant encore un peu plus de drive peut être dans le dernier ?
Once again a superb lecture of one of his preferred Mozart symphonies.
Symphonie n° 34 K.
338
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C'est très décidé au début, puis çà s'organise. Le 2e mouvement est comme rêvé, le reste est très enlevé - à rééditer dans de bonnes conditions sonores.
Again a splendid Mozartian lecture. Too bad the tape was in bad condition. A concert to edit.
Symphonie n° 34 K.
338
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Encore une merveille...
Again a splendid Mozartian lecture.
Symphonie n° 35 K.
385 "Haffner"
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Cette interprétation se situe dans la veine des enregistrements mozartiens réalisés quelques années auparavant à Vienne pour EMI. C'est du Mozart dynamique mais souple, avec une parfaite maîtrise des tempi.
Mozart as we like it: despite fast tempi, a certain roughness, the "sad smile" is there. Very much in the same spirit as in the Vienna official recordings, but with a much better sound.
Symphonie n° 35 K.
385 "Haffner"
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Les mêmes commentaires que pour la 33e donnée lors du même concert. Kubelík "profitait" semble-t-il de ce festival pour donner des œuvres de Mozart qui n'étaient pas - ou pas régulièrement - à son répertoire.
He used to conduct there Mozartian pieces he rarely did before. Same appreciation as above for the 33th.
Symphonie n° 35 K.
385 "Haffner"
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Même si la date est floue, 1980 parait plausible tellement cette version paraît aboutie. La grâce, la finesse, la polyphonie naturelle, l'orchestre et le chef sont vraiment à leur 'top'. Parfois des zones d'ombres viennent nuancer la 'galanterie' de la musique. Même si de nos jours le tempo du Minuetto peut paraître un peu retenu, les tempi nous semblent idéaux. Bref, pour nous, la quintessence de Mozart, rien moins.
Mozart at his best! Everything you (I) like in Mozart is here : elegance, polyphony, lightness & darkness, rhythm and phrases, with a splendid orchestra.
Symphonie n° 35 K. 385 ré majeur "Haffner" -
3-4/1/1961 |
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Ces enregistrements font partie des séries enregistrées avec Vienne au début des années 60. Ce sont de superbes interprétations, avec un son "favorisant" les cordes. (Cf. discographie aveugle de la n°41). On notera le dérapage des cordes au tout début de la Musique de nuit.
Very good performances, even if strings are a little bit harsh - see blind listening of the 41th.
Symphonie N° 36 KV 425 "Linz"
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Il dirigea moins souvent la Linz que les autres grandes symphonies. On est pourtant étonné de tant de naturel, de spontanéité, de drive. Kubelík avait cette faculté de cacher l'art par l'art : même chez Walter ou Szell pour Mozart, on sent souvent derrière le pseudo-naturel, "comment c'est fait". Libéré de contingences matérielles ou organisationnelles, il était vraiment le meilleur, même s'il a déclaré avoir toujours été insatisfait des milliers de concerts qu'il a donnés...
This really is a must and any serious conductor should match this level of interpretation (most new "conducting stars" rarely record Mozart...). Kubelík, except the CBS/Sony late recordings, shows always a vivid, male Mozart with a sort of "romanticized" classicism.
Symphonie N° 36 KV 425 "Linz"
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Une fort belle version - mono - avec une prise de son un peu lointaine faisant ressortir l'aspect un peu trop carré de l'orchestre.
A very good lecture, even if the orchestra is lacking of flexibility.
Symphonie n°25 KV 183 - Symphonie n° 38 K. 504 "Prague"
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La symphonie KV 183 est superbe d'allant, de mesure et de chant. La Prague est un des derniers concerts de Kubelík (la veille des 40 et 41 cf. ci-dessous), on y retrouve la maîtrise, la sérénité et aussi la lenteur parfaitement habitée de certains tempi.
Even if some tempi are on the slow side, where can we listen to such measure and singing?
Symphonies n° 35 "Haffner" K. 365 - n° 38 "Prague" K. 504 - n° 39 K.
543 - n° 40 K. 550 - n° 41 "Jupiter" K. 551
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Après l'abandon en rase campagne de Deutsche Gramophon, Kubelík et la BR
signèrent un contrat avec CBS, qui ne donna malheureusement que ces Mozart, les 4 de Schumann
et les 3 & 4 de Bruckner. Ces symphonies sont très vivantes
pour une version de studio. Les tempi sont larges et la prise de son un
peu réverbérée, mais on ne s'ennuie pas car c'est superbe de vie, de rebond ; les tempi sont assez allants,
la prise de son donnant beaucoup de présence. La récente réédition Sony
présente un meilleur report et un prix cadeau. (4/5/11) discographie comparée de la
n°41.
J'ai enfin retrouvé une critique qui m'avait choqué à l'époque :
: "RK
accomplit actuellement une des carrières les plus décevantes de ces vingt
dernières années [...] (il) n' pas réussi ce perpétuel dépassement qu'on
attend du très petit nombre des interprètes de génie" : ce n'est pas parce
qu'il choisit la Bavaroise et qu'il refusait le star-système que ses
interprétations étaient moins intéressantes que celles de Bernstein ou
Karajan, même si ses enregistrements officiels furent de ce fait moins
nombreux. "... Nous n'y retrouvons pas la magie ni de Beecham, ni de Walter,
ni de Krips, ni de Böhm" : certes ces enregistrements sentent parfois un
peu trop le studio, ils tiennent cependant très bien par par rapport à ceux
de Walter par exemple. (7/9/2011).
Joyful readings, with plenty of drive. It
often does not sound like a studio recording. Even if you are skeptical
about 'traditional' Mozart lectures, just get it: the sound has been
improved and the price is down! (5/4/11)
Symphonie n° 38 K. 504 "Prague"
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L'intro est si lente, hiératique façon Klemperer et pourtant chantante façon Walter, et si humble et naturelle façon Kubelík... Beaucoup de choses à reprocher et pourtant tout à chérir ! La solennité de l'événement ajoute bien sûr au plaisir que l'on ressent : contrairement à beaucoup d'événements "marketing" genre "j'étais à la chute du mur", ici le cœur parle.
It begins so slowly and though it is so moving. There is nothing much to say: just enjoy and think that ten years ago or so it was possible to hear that.
Symphonie n° 38 K. 504 "Prague" |
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Symphonie n° 38 K. 504 "Prague"
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Va-t-on encore se répéter ? C'est toujours aussi superbe (notre 7e version...), même à Tokyo. Cà chante en permanence, essayez d'entendre du chant chez nos baroqueux... Il reste que son interprétation de cette symphonie n'a quasiment jamais changé d'un iota, seul le dernier mouvement étant un peu plus rapide qu'à l'accoutumée, ce qui lui va bien.
Again a beautiful 'Prague' recorded live in Tokyo during one of the three Kubelík tours (65 & 75 with the SOBR and 1991 with the Czech philharmonic)
Here a complete survey of Kubelík & SOBR tour in Japan, 1975, by Riichiro Emori
Symphonie n° 38 K. 504 "Prague"
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Symphonie n° 38 K. 504 "Prague"
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Quel dommage que la bande pleure. On a cependant une idée du concert qui montre un Kubelík à son apogée (?) dans Mozart, un véritable opéra sans chanteur.
Again here a concert which you listen from the beginning to the end, with a superb orchestra (some winds a little too loose sometimes).
Symphonie n° 38 "Prague" K. 504
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Un enregistrement "historique" avec un orchestre assez peu mozartien, parfois à la limite de la justesse - mais c'est Mozart qui veut çà, une interprétation en tout cas très vivante, chantante, Kubelíkienne...
Except Walter's recordings (even though...), do we know excellent Mozart recordings by American orchestras?
Symphonie n° 38 "Prague" K. 504
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Qui connaît en France cet orchestre dont le directeur musical 2014/2015 est le Colombien Andrés Orozco-Estrada... (c'est en fait le Frankfurt Radio Symphony Orchestra). Eh bien cet orchestre était excellent en 1960, à preuve cette 38e de Mozart. Certains préfèrent leur Mozart "historiquement informé", celui de Kubelík m'informe suffisamment et je m'en repais...
Once again a superb Prague by Kubelík. Great sound, excellent orchestra. Some like their Mozart "historically concerned". Kubelik's Mozart concerns me enough, thank you. Very good sound and a silent audience.
Symphonie n° 38 "Prague" K. 504
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Un enregistrement étrange : Kubelík, parallèlement à son séjour à Chicago
(1950-1953) avait un contrat avec EMI depuis son exil en 1948, contrat qui,
après une longue interruption suivant ses enregistrements avec le Philharmonia,
se terminera en 1960-61 avec les dernières symphonies de Mozart à Vienne.
Pourquoi lui faire enregistrer la Prague qu'il venait d'enregistrer à
Chicago 2 ans plus tôt ? Peut-être parce que l'interprétation est supérieure ?
Ici tout est juste au niveau des intonations, tout est maîtrisé dans des tempi
amples qu'il conservera toujours dans cette symphonie chère à son cœur (il
l'aura donné au moins 40 fois et enregistré en studio 4 fois : Chicago,
Philharmonia, Vienne et Bavaroise.
On ne va pas redire, l'évidence, le sourire Mozartien, c'est une merveille.
Kubelík signed a contract with EMI (Walter Legge) in 1948 just after his departure from Tchecoslovakia, with many studio recordings with the Philharmonia until its late completion with late Mozart symphonies in Vienna in 1960-1961. This probably previously unreleased recording - there are still a few from this period - gives us again a splendid lecture of this work he conducted at least 40 times.
Symphonie n° 38 "Prague" K. 504
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Il s'agit de la symphonie de Mozart que Kubelík conduisit le plus souvent pendant plus de 40 ans (au moins de 1950 à 1991). C'est ici sans soute la plus lente et la plus majestueuse. On ne sait comment çà marche à ces tempi, mais çà marche !
He has been conducting this symphony for at least 40 years, from 1950 to 1991...How can it be so slow and thus so vivid ? At the same concert, Bruckner's 9th.
Symphonie n° 40 K. 550 sol mineur - Symphonie n° 41 K.551
"Jupiter" ut majeur
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A part Bruno Walter, on ne voit pas qui a pu surpasser ces interprétations, si personnelles mais qui paraissent en même temps "évidentes". Un des derniers concerts de Kubelík avant sa retraite. (Cf. discographie comparée de la n°41)
One of the last concerts by
Kubelík and the
BRSO: Mozart as we will never hear anymore.
Nikolaus, John-Eliott, Ton, Christopher, Emmanuel and others, please listen!
Symphonie n° 41 K.551
"Jupiter" ut majeur
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Sans doute sa version la plus raffinée ; une merveille artistique. On est assez sidéré d'entendre la récente publication des dernières symphonies par Mackerras (qui a mis en quelque sorte sa carrière dans les pas de Kubelík) avec l'orchestre de chambre d'Ecosse : c'est certes plus enlevé, mais avec tellement de tics interprétatifs, qu'on n'y sent pas vraiment une nécessité : çà fait plus programme politique au mauvais sens du terme qu'autre chose... (01/03/08).
Kubelík and 'his' orchestra at their best.
Symphonie n° 41 K.551
"Jupiter" ut majeur
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Cette version de concert, superbe, pâtit un peu de la comparaison avec un de ses derniers concerts à Munich : l'assise orchestrale y est moins bien affirmée ; les tempi sont plus rapides en général, mais cela fait un magnifique concert tout de même.
It is a pity or luck that one on his last concerts in Munich gave us almost a definitive interpretation. Here, despite brisker tempi, it lacks a little bit of steadiness and the orchestra is not always very clean (yes it is the Vienna Philharmonic). A great version nevertheless.
Symphonie n° 41 K.551
"Jupiter" ut majeur
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Construction
Sérénade
Nr. 7 D-dur K. 250 "Haffner" |
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Un des disques officiels les plus méconnus de
Kubelík chez DG, avec ceux des ouvertures de Weber, de Tcherepnine et bien d'autres.
Il vient de ressortir dans le coffret DG "rare recordings
1963-1974". Une version "traditionnelle", chantante, sans
doute un peu lente.
One of the less known official records by Kubelík, as well as his Weber
overtures, Tcherepnin, Haydn Masses (DG)...
Now some, like the Haffner are available in the new DG box. A singing
lecture, 'traditional', maybe a little slow(12/30/05)
Sérénade
Nr. 7 D-dur K. 250 "Haffner" |
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Une interprétation très poétique et chantante peut-être trop uniment lente d'où une certaine lourdeur de l'accompagnement aux basses, mais en même temps tellement vivante et "naturelle". Son un peu vieux, sans doute dû à l'édition, compte tenu de la date du concert.
If you like a romanticised, rather slow but singing, sad and smiling at the same time, this is for you!
Sérénade
Nr. 13 "Ein Eine Kleine Nachtmusik, K.525 |
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Toujours le même problème pour Mozart avec Chicago : l'orchestre manque de légèreté, voire de style mozartien et la justesse n'est pas toujours absolue (mais cela peut venir un peu du report). Bref, une version robuste.
A robust lecture, pleasant but we are not in Vienna.
Sinfonia
concertante K. 297b |
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Les éminents solistes de la Bavaroise réunis pour cette œuvre lui confèrent une impression de luminosité, d'évidence tranquille.
The "crème de la crème" of the Bavarian soloist for a delightful music session.
Musique funèbre maçonnique |
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6'31" de recueillement pour commencer ce concert à la mémoire d'Otto Klemperer. La solennité de l'événement et sans doute l'émotion du chef, n'empêchent pas de trouver ici la lumière et le lyrisme coutumiers de ce dernier, même si le début est un peu hésitant et s'il y a un étrange bruit à gauche à 1'38". 6'28" en 1980 à Chicago...
Beginning
the Otto Klemperer memorial concert, we appreciate these 6' are enough to
fill the Royal Albert Hall... Wonderful, luminous and spirited
introduction of this concert (but watch the noise on the left channel at 1'38"!).
An other wonderful interpretation of this piece Kubelík conducted on its
second concert in Chicago in 1950.
Je n'ai pas entendu de version plus enthousiasmante de ces œuvres.
Kubelík était un spécialiste des messes classiques viennoises (Cf.
Haydn). On admirera le rebond et la légèreté : les rythmes ne sont
jamais trop marqués ou pesants. Mais on regrettera la prise de son qui
nimbe le chœur d'un halo lointain.
Une récente émission "Le pavé dans la mare" de France-Mu vit nos critiques se
sentir "obligés" de reconnaître qu'il s'agissait là de la meilleure version. Ce
qui n'a pas empêché Piotr Kaminsky - qui participait à l'émission - de ne pas
citer ce disque dans sa sélection de messes de Mozart dans Diapason de juin 2006.
28/6/06
A classic recording, unfortunately badly recorded.
Messe "du Couronnement"
K. 317 |
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Une version très différente de l'enregistrement officiel DG de 1973 : les tempi sont plus lents, recueillis (avec l'aide de Lucia Popp), la prise de son n'est pas non plus un modèle de clarté ; mais tout cela est dans l'esprit de la Messe Saint Cécile à Ottobeuren, et c'est un vrai bonheur !
A very moving interpretation, with rather slow tempi, more "natural" than the official recording for DG.
Te Deum K.141 - Messe K. 427
K. 317 |
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Passons sur le Te Deum, œuvre de jeunesse bien courte mais très bien rendue. Le Kyrie de la Grande Messe commence assez mal, çà se reprend, Popp est un peu lente dans son entrée, quelque chose dans son teint semble indiquer la maladie proche, puis la 'mayonnaise' prend. Le 'vieux maître' (67 ans) dirige son Mozart comme personne, même dans cette partition qu'il fréquenta peu (il lit la partition) ; superbe Janet Perry.
A must.
Idoménée - ouverture, récitatif & aria (Ilia) - Symphonie n° 38 K. 504 "
Prague" |
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Une idée du bonheur en musique ? La journée avait l'air bien belle à Wurzburg en juin 1981. Tout baigne, notamment dans une Prague égale à elle-même, avec son tempo très lent pour le 1er mouvement. C'est magnifique. Cf. l'excellente analyse de Philippe Manoury du début du Requiem de Mozart
The June light in the hall seems to be reflected in the music
making.
Requiem
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On n'espérait pas pouvoir l'entendre. Malheureusement la bande pleure. L'intro est un peu compassée. La fugue du Kyrie est menée avec entrain. Le Dies Irae est mené encore plus - trop - rapidement. Le trombone du Tuba Mirum est à la peine. Les solistes ne sont pas ensemble, le son devient de plus en plus exécrable. Regrets, car la conception est intéressante.
Very bad sound, rather shaky, to be forgotten...
Ave verum
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La date d'enregistrement de ce si bref et ultime chef d'œuvre n'a pas été indiquée lors de sa récente retransmission par la radio bavaroise pour les 95 ans de la naissance de Kubelík, mais c'est ancien (mono). Un léger manque d'homogénéité du chœur (qui s'améliorera encore par la suite) ne nuit pas au sentiment religieux intense.
4'44 of religious atmosphere given in this apparently old recording.
Concerto
piano n°12 Karl Engel - SOBR - Live - 19?? - Broadcast - Remerciements à Jean-François Fauduet |
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Maybe a little bit slow an placid, but very well played.
Concerto piano n°14Jean Fonda - SOBR - Live (Munich) - ?/?/?? - Broadcast - Remerciements à Jean-François Fauduet |
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On n'a jamais entendu Kubelík plus âpre dans les concertos de Mozart que dans celui-ci. Piano très bien sonnant, un peu droit parfois, mais c'est très prenant, bien que ce ne soit pas une œuvre tout à fait du niveau des derniers concertos. À noter que Jean Fonda est le nom d'artiste du fils de Pierre Fournier, avec qui il réalisa un certain nombre d'enregistrements.
Concerto piano n°14Ken Noda - NYP - 20/11/1982 - Broadcast - Thanks to Simon Clark |
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Un pianiste absolument inconnu en Europe, alors qu'il joua avec les plus grands avant de se retirer en 1991 pour devenir assistant musical de Levine au MET et de se consacrer à la musique de chambre et à l'enseignement. Un piano très propre et clair dans cette œuvre qui fait finalement penser au concerto pour flûte et harpe.
A very elegant pianist, who, after an international recognition, retired from the stage in 1991 to pursue various activities at the MET, or as a teacher and chamber music.
Concerto piano n°16 K. 451Rudolf Firkušny - CSO - 9-11/12/1982 - Broadcast - Thanks to Simon Clark |
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Une petite merveille de plus à l'actif des deux compères. Très rarement joué, c'est un concerto assez 'pimpant', joué ici avec tout l'allant nécessaire.
The programme included also a superb Bruckner 6. This kind of concert makes you regret he could not have pursued his career after 1985 (he was 'only' 71 years old) as Monteux or Stokowski for example. A delightful moment...
Concerto
piano n°20
SOBR - Live (Munich) - 31/5/84 - Remerciements à Claude Aubrun |
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Munich 1984 : Sans doute Perahia n'a-t-il plus trouvé de chef à son goût, de sorte
qu'il enregistrera ensuite tout seul les concertos de Mozart. C'est une
interprétation pleine de vie, accompagnée avec évidemment le plus grand soin
et la plus grande empathie ; le piano sonne un peu grêle, mais il s'agit
d'une copie d'un enregistrement fait lors d'une radiodiffusion. Malgré la
rectitude du jeu du pianiste (on pense à son jeu dans ses récents
enregistrements des concertos de Bach), on comprend
peut être pourquoi Kubelík n'a jamais joué avec Pollini... Au même programme
de ce concert, l'ouverture des Créatures de
Prométhée et son Orphikon.
(13/12/09) Il m'arrive une autre version de ce concerto
par les mêmes protagonistes, mais à New York 2 ans auparavant. Je n'ai pas le
temps de comparer, mais çà me semble encore mieux qu'à Munich en 1984.
A superb concert with a very involved Perahia, who
plays maybe a little be steady, with a crystalline sonority. A very vivid
and meaningful lecture nevertheless. At the same program,
Promoteus overture and his own
Orphikon.
(12/13/09) A new version with the same just
arrived - thanks to Simon Clark - I don't have the time to compare, but it seems
even better than the Munich concert of 1984.
Concerto
piano n°20
K. 466
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On retrouve ici le jeu assez Beethovénien de Brendel dans Mozart ; difficile d'imaginer plus belle entente soliste-chef dans le 1er mouvement ; la cadence est très inspirée. Quand entend l'intro du 2e par Brendel, puis la reprise orchestrale exactement dans le même ton, on ne peut que regretter qu'il n'est pas fait l'intégrale avec Kubelík, mais en fait ils n'auraient fait ensemble que ce concerto, celui de Schonberg et par deux fois le 4e de Beethoven.
Too bad he did not make his Mozart concertos on record with
Kubelík... This was made during the Mozart Wurzburg Festival.
Concerto
piano n°20
K. 466
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C'est moins Beethovénien, plus sensible aussi peut-être qu'avec Brendel ; entente parfaite soliste-chef. Si Pierre Fournier était le prince des violoncellistes, on a bien ici un prince du clavier.
Poetry, spirit,
everything you need in Mozart. I wondered if he did better in his DG complete
set, leading himself the orchestra..
Concerto
piano n°20
K. 466
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On retrouve ici le jeu assez Beethovénien de Brendel dans Mozart ; difficile d'imaginer plus belle entente soliste-chef dans le 1er mouvement ; la cadence est très inspirée. Quand entend l'intro du 2e par Brendel, puis la reprise orchestrale exactement dans le même ton, on ne peut que regretter qu'il n'est pas fait l'intégrale avec Kubelík, mais en fait ils n'auraient fait ensemble que ce concerto, celui de Schoenberg et par deux fois le 4e de Beethoven.
Too bad he did not make his Mozart concertos on record with
Kubelík... This was made during the Mozart Wurzburg Festival.
Concerto
piano n°21 KV 467
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L'enregistrement radiophonique diffusé sur France-Musiques n'est malheureusement pas de très grande qualité. En ayant écouté auparavant Perahia dans le 20ème, on distingue bien la différence entre deux générations de pianistes : ici le jeu est moins droit, moins propre, plus caractérisé, peut-être plus vivant, voire un peu madré. L'ensemble est très énergique et permet de goûter les dialogues solistes / instruments.
One year before his death, Casadesus gives a very good interpretation, vivid, personal, with a great communion between the soloist and the orchestral members.
Concertos piano 21 KV 467 & 24 KV 491
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Du Mozart "grand style" avec un orchestre assez fourni. On admirera la qualité des phrasés de l'orchestre, le rebond rythmique, la tenue de l'ensemble. Si ces versions ne détrônent pas le 1er Barenboïm ou l'inventivité de Sandor Vegh, elles sont exemplaires au niveau de l'orchestre avec souvent une superbe entente entre soliste et chef, mais un n°24 avec un pianiste trop placide et un soliste un peu maniéré dans le 21.
Tenderness, evident tempi, cohesion between soloist and conductor : maybe not the best versions ever, but what a musical pleasure!
Concertos piano n°22 KV 482 & n°23 KV 488
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Que n'ont-ils donné plus de concerts ensemble : ces 2 Mozart et les 2
Brahms à Munich, un concert non documenté
avec l'orchestre de Paris au Palais des congrès (!) en 83 et surtout leur
première rencontre en Australie en 1958 (2e de Tchaikovsky et 3e de Prokofiev).
Quel beau son de piano,
le mouvement lent est splendide. Une sensation de bonheur partagée. A noter que
ce concerto n'apparaît que cette fois-là dans la
liste de concerts de Kubelik. Barenboïm,
qui fréquenta tous les grands chefs depuis Klemperer avant d'en devenir un
lui-même, professait un grande admiration pour Kubelìk.
Du très grand piano, pas une casserole à l'ancienne ici, avec un son excellent,
l'orchestre manquant néanmoins un peu de définition.
A splendid lecture of the 22th, in my opinion better than than the 1st version with Barenboïm alone for EMI, I do not know the Teldec one. I Think there is always more steadinesses in the orchestra when there is a -good- conductor. These two knew their Mozart and were at the peak of their talent. The adagio of the 23rd is very impressive.
Concertos
piano n°23 KV 488 & 27 KV 595
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Mêmes remarques que plus haut pour les 21 & 24, même si le soliste apparaît parfois un peu "linéaire".
Even if strings have to get warm at the beginning of the 23rd, these are splendid concerts: Kubelík was a great accompanist!
Concerto
piano n°24 KV 503
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Malgré la précarité de ce report, on perçoit d'emblée la fermeté rythmique de Kubelík dans les concertos de Mozart, assortie de phrasés très travaillés et expressifs. L'impression ressentie est celle d'une interprétation très virile, voire un peu heurtée du pianiste.
A pity the report is so bad. This is a direct version, maybe a little tough from the pianist.
Concerto
piano n°25 KV 503
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A près de 80 ans, le pianiste assure ! Une bonne version traditionnelle, sans trait de génie, mais sans faille dans l'expression.
The two almost octogenarians give here a superb concerto in a classic
style.
This concert was given for the benefit of the
Olga Havlová Goodwill Fund.
Concerto piano n°25 KV 503
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Extrait d'une interview accordée par Martha Argerich à Clavier Magazine interview en 1979 - par Dean Elder?
Excerpts from Clavier Magazine interview in 1978 - by Dean Elder (from
www.andrys.com)
"The New York Philharmonic conducted by Raphael Kubelík plays superbly. It is lovely Mozart, like a bird song, fresh and unpredictable. Argerich plays freely, effortlessly. Broken octaves ripple, turns are tossed off. The vehemence of her octaves and the brilliance of her passage work are as striking as her immense rhythmic vitality and feeling for tonal values. ... "This concerto with its multitudinous melodies has never seemed more spontaneous. Never before have I heard the contrapuntal entrances made so clear. The last movement is taken at a good clip, and Mozart's F major theme..., one of his simplest and most personal, in the development of the sonata rondo is played so refreshingly that one finds himself singing the tune even as shouts of 'Bravo! Bravo!' rise at the end." Argerich : "Kubelík told me, [...] that he was happy because it was so singing". But Harold Schonberg review in The New York Times called her Mozart performance ,"rather superficial".
Kubelík n'aurait dirigé que 2 fois ce concerto (cf. ci-dessus avec Firkušny) et une seule fois la pianiste. C'est une interprétation extrêmement décidée, très brillante au piano, très virtuose à l'orchestre, cela chante certes, mais on aimerait un supplément "d'âme mozartienne"
For their only encounter, the two artists deliver splendid playing, maybe a little bit too much extrovert. Ici la liste des pianistes ayant joué avec Kubelík Here, a list of the pianists who played with Kubelík
Concertos pour deux pianos KV 365
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Concerto pour clarinette KV 622Karl Leister - Orchestre philharmonique de Berlin - DG - 1967 |
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Interprétations de référence, même si elles ont été bien oubliées... Je ne résiste pas au plaisir de reproduire ici l'extrait du livret consacré à RK par Louis Seranne...
Wonderful reference interpretations... (very critical...)
Concerto
pour clarinette KV 622
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On est toujours stupéfait de la qualité d'accompagnement de Kubelík... et nous avons reçu beaucoup de concertos ces temps-ci, sans que cette qualité soit prise en défaut. Ici encore, en concert, c'est très surprenant : aucun tunnel, raccord : il avait l'art de mettre les solistes à l'aise, tout en gardant fermement une ligne directrice. La musique ici coule de source, avec un soliste -célèbre professeur Munichois - de très grande valeur, interprétation très "naturelle".
A splendid soloist - a well know Clarinet professor - and a wonderful understanding between the soloist and the conductor gives us a perfect reading, without any imposed intention to the score.
Concerto
pour basson
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Jouée par Karl Kolbinger, le basson soliste de la Bavaroise, une œuvre mineure mais bien agréable.
Of course Kubelík was at ease with Mozart's wind concertos, here with the orchestra's bassoon soloist.
Concerto
pour hautbois
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Soliste comme Kurt Redel du "Münchener Kammerorchester", Kurt Kalmus donne ici une transcription du concerto pour flûte de Mozart, c'est presque plus agréable.
A transcription from Mozart's flute concerto with a splendid soloist.
Don
Giovanni KV 527
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Cette interprétation, dès l'ouverture, peut
paraître lente ; pourtant, au fur et à mesure de l'action, on est pris
par sa qualité dramatique, la caractérisation des personnages. Si cela sent
un peu le studio, il s'agit d'une excellente interprétation de l'œuvre,
peut-être moins vivante, mais plus fouillée que celle, légendaire, de
Giulini. Ici, interview de RK
par Karl Schumann.
Cf. Don Giovanni par Philippe Jordan à l'opéra de Paris :
One of the last recordings at the Bavarian Radio. A moving interpretation, not vivid enough though. We shall not comment the cover... Read RK's interview.
Concerto for Flute &
Harp; Sinfonia Concertante for Winds &
Orch. K.297b
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De vraies merveilles mozartiennes, sans exagération de couleurs ou de rythmes, avec tout ce qu'il faut de vie, de timbres et de phrasés : le bonheur avant Harnon.. chut! je me tais. Beaucoup d'engagement et de présence, cordes parfois un peu limites au niveau de l'accord, bois savoureux, libres mais disciplinés, comme on les aime avec cet orchestre, quelques toux. Karl Bobzien était le 1er flûtiste de l'orchestre (1950 -1974), suivi de Kurt Redel (1953-1974), András Adorján (1974-88) et d'Irena Grafenauer (1977-1988).
A splendid collection, superb
sound and playing. for the "concertante". We heard more striking
interpretations (Jochum in some other ones with the same orchestra), but
were they more Mozartian than this one?
The flutist was the first flutist solo of the orchestra : Karl Bobzien
1950 -1974, Kurt Redel 1953-1974, András Adorján 1974-88, Irena Grafenauer
1977-88, Philippe Boucly 1988-, Benoît Fromanger 1989-90, 1993-2004, Henrik Wiese 2007
Concerto for Flute KV 313
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Kurt Redel fut un des chefs honnis par les baroqueux pour ses interprétations à la tête de son orchestre de chambre. On l'entend ici en tant que flûtiste lors du festival de Wurzbuch qui avec le recul apparaît comme une sorte d'idéal mozartien de l'époque. On a trouvé çà un peu plum plum au départ, mais c'est en fait très musical.
A very good (classical) lecture.
Concerto for Horn KV 447
(3rd movement)
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C'est bien dommage de n'avoir que le 3e mouvement, même si le son est un peu ancien. Farkas qui quittera l'orchestre en 1960 est devenu ensuite une figure de l'instrument. C'est joyeux et assez enlevé, comme tous les concertos de Mozart pour vent par Kubelík. (19/1/09)
Again a enjoyable lecture for a Woodwind or brass concerto by Mozart with Kubelík, but we have here only 3'45! (01/19/09)
Concerto for Horn KV 495
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Cor solo de l'orchestre depuis 1979, le soliste donne avec sa sonorité ronde une lecture assez nostalgique de ce concerto, donné lors du festival de Wurzburg. (29/4/11)
SOBR's horn soloist since 1979, a nostalgic lecture given during the Wurzburg festival. (4/29/11)
(Divertimento n° 15
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Un document d'un telle pauvreté sonore (à commencer par le son du speaker japonais..) pour ce document de 1946. On perçoit simplement le drive et la netteté de style que mettait Kubelík dans ses interprétations mozartiennes dans sa jeunesse (cf. par exemple ses ouvertures d'opéra si dynamiques chez HMV au début des années 50).
The sound is too much dull to quote this concert (or recording ?), mainly because of the broadcast recording. but even through these thick curtains, one can enjoy Kubelík's style and accuracy.
Divertimento K 287
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Un document intéressant, notament pour la qualité des cordes que l'on peut apprécier grâce à une prise de son étonnante pour l'époque (même si tout n'est parfait au niveau de l'intonation, loin de là...).
Superb style for this concert given in a very good sound. Mozart is so hard for strings...
Divertimento n° 2, K.131
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Adagio & fugue
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Symphonie
concertante K. 364
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Depuis Kubelík, voire Jochum, saura-t-on encore interpréter Mozart "à la moderne" ? Pourtant pas de mièvreries, de dramatisme exagéré ou d'once de romantisme déplacé.
Everything you wanted in Mozart here : every note flows "naturally" - Szering if sometimes a little bit straight is at his place in this repertoire - The 2nd movement is especially moving.
Concerto
pour violon n°3
in G majorK.216
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Le son de la Gioconda - et de l'orchestre d'ailleurs - est un peu dur ici , contrairement à celui écouté dans Bach. La cadence dans le premier mouvement n'est pas très naturelle ni habitée. C'est un peu dur. Kubelík, par contre, dès qu'il peut se lâcher, donne une version très dynamique dans le premier mouvement, amoureuse dans le deuxième : elle suit et çà marche superbement.
A very moving recording, maybe not the best violinist of the XXth century, but a very concerning soloist. The slow movement is a must.
Concerto
pour violon n°3
in G majorK.216
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Shiokawa se vit prêter le violon de Jan Kubelík (Stradivarius 1715) par Raphaël en 1967, violon qu'elle gardera jusqu'en 2000. Beaucoup d'élégance dans des tempi très mesurés. Quelle salle de concert !
All Kubelík concerts in Wurzburg were marked by a kind of smiling serenity; it is again the case here.
Concerto
pour violon n°4 K.218
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Un Mozart "traditionnel" dans l'esprit des concerti pour piano avec Curzon. Tout cela respire le bon métier, sans flagornerie ni fulgurance. A noter une excellente version du Rassoumovsky n°1. Je n'ai pu supporter plus de 5' la récente version à l'ancienne de Mullova, mais peut-être deviens-je "Kubelíkement" sourd ?
A very good "traditional" interpretation, with a very good version of Beethoven's Rassumovsky n°1 quartet.
Concerto
pour violon n°5 K.219
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Un programme qui ne se fait plus guère, avec toute la vitalité que mettait Kubelík dans ses enregistrements londoniens dans les premières années de son exil. (14/7/08)
A rare collection now: everything is perfectly done, even if we can find even more drive from the more recent interpretations (cf. below). This can be bought on CD now (7/14/08)
La Flûte
enchantée - Ouverture - "Who treads the path of toil"
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Malgré un son qui sature dans les attaques, que de musique dans cette ouverture, de plan sonores, de vie. Quant aux extraits chantés (en anglais évidemment), c'était vraiment très chanté, presque trop. Apparemment, Kubelík n'aurait dirigé cette œuvre qu'une fois en 1970 à l'Opéra de Bavière.
A document, with a rather poor sound of Kubelík stay at Covent Garden - read the story of Kubelík in Convent Garden . The overture is splendid, the excerpt is sung by really great voices.
Les Noces de
Figaro - Ouverture
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La quintessence de Kubelík dans Mozart : du "drive", du son, du rythme, des bois, du Mozart ! Seulement 4'12 de bonheur...
A hit! Speed, rhythm, characterization, everything you need...
Les Noces de
Figaro - Ouverture
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Cette fois 4'02 de bonheur...
Again a success...
Don Giovanni - Ouverture
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On ne sait pas quoi dire sinon qu'il ne nous semble pas avoir entendu mieux. Que de merveilles restent à rééditer !
I repeat : A hit! Speed, rhythm, drama, everything you need...
La
Clémence de Titus - Ouverture
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Alma grande e nobil core, aria for soprano & orchestra, K. 578
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Sonate pour 2 pianos KV 448
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Ils donnèrent également lors de ce concert- privé je crois - le concerto pour 2 claviers de Bach. Pas de quoi enthousiasmer les foules, mais c'est très bien fait sans chichi et évidemment très musical.
As for Solti with Perahia, these two conductors knew their keyboard. (Kubelík did the piano part in Janacek with Heaffliger for DG) and Sawallisch accompanied many lieder singers (DFD, Price...). This is really very musically done.
Biographie
de Rafael Kubelík
- Discographie de
Rafael Kubelík - Liste des concerts de Rafael
Kubelík - Les meilleurs enregistrements de
Rafael Kubelík - Concerts de Rafael Kubelík en mp3
Biography of Rafael
Kubelík - Discography of
Rafael Kubelík - Concerts list by Rafael
Kubelík -
Best of Rafael Kubelík